Nita laissa courir ses doigts le long d’une des étagères de la bibliothèque. Soudain, quelque chose interrompit son mouvement. Un petit livre perdait un fil, et son ongle s’était accroché dessus. Elle plissa les yeux. Ah ! Un de ces guides consacrés aux métiers : Comment devenir pilote, Comment devenir chercheur, infirmier, écrivain… Mais celui-là s’intitulait… Comment devenir un sorcier en dix leçons ! Nita extirpa le volume du rayonnage, ébahie, et se plongea dans la lecture. Non, impossible ! se dit-elle au bout d’un instant. Elle referma le livre et le tint serré dans sa main, immobile, en proie à un mélange de confusion, d’incrédulité… et d’euphorie. Si c’était une plaisanterie, elle était géniale. Et si ce n’en était pas une…
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Wizards est une saga qui me fait envie depuis un moment (comme tous les livres provenant de chez Lumen, en fait), et j’étais curieuse de me faire mon propre avis dessus. Les chroniques à son sujet étaient assez disparates, certaines personnes avaient beaucoup apprécié, d’autres trouvaient ça trop jeunesse. De mon côté, j’oscille un peu entre les deux. C’était une bonne lecture, très originale, mais je pense qu’avec une dizaine d’années de moi, j’aurais encore plus aimé l’histoire.
Nita a 13 ans. Jeune fille martyrisée à l’école, elle rentre souvent à la maison rouée de coups par une bande de camarades. Un jour, pour leur échapper, elle se réfugie dans une bibliothèque qu’elle connaît très bien. Là, elle tombe sur un livre étrange qui l’attire immédiatement. L’intérieur est pour le moins curieux : comment devenir sorcier en 10 leçons. Si elle croit à une farce, Nita se prend très vite au jeu, cependant. Sans savoir qu’en prononçant certains mots se trouvant dans le livre, elle scelle son destin à jamais.
Mais dans cette vie, elle ne sera pas toute seule. Elle fera la rencontre de Kit, un garçon âgé de 12 ans et doté lui aussi de pouvoirs particuliers. Ensemble, ils vont braver tous les dangers, sans se douter de ce qui les attend au tournant !
D’après ce que j’ai compris, Wizards est sorti en VO aux alentours des années 1980. Donc bien avant Harry Potter. C’est bon à savoir, car sur le coup, j’ai trouvé des similitudes avec la célèbre saga perturbantes. Bon, ça ne sautera peut-être pas aux yeux de tout le monde, mais en tant que grande amoureuse des aventures du sorcier à lunettes, eh bien j’ai rapidement tendance à le voir partout, haha ! Cela dit, dans Wizards, ces points communs ne m’ont pas le moins du monde dérangé.
Je me suis sentie immergée dans l’univers de Nita et Kit dès le début. Dès que je reposais le livre, j’avais du mal à ne pas le reprendre fissa, tellement il m’appelait. J’ai trouvé que les choses commençaient simplement, mais que le suspens enflait rapidement. Et puis l’auteur a poussé son imagination jusqu’au bout, car même la façon dont elle parle de la magie est innovante. Elle explique son origine sur base de faits scientifiques, afin de la rendre plus réaliste. J’avoue n’avoir pas tout compris (la physique quantique et moi ne sommes pas très copains), mais j’ai apprécié l’effort. Elle fait de la magie quelque chose de concret, de palpable. Et cette idée du Discours, de donner vie à tout ce qui nous entoure, même les choses inertes, j’ai adoré !
On s’immerge peu à peu dans ce vaste monde, au côté de héros qui n’ont pas froid aux yeux. J’ai tout particulièrement apprécié Fred, qui est un trou blanc, une espèce de lueur qui dégage toutes sortes d’ondes nocives. C’est un personnage qui déménage, aussi attachant qu’indispensable. J’ai trouvé qu’il ajoutait du punch à l’histoire.
Une partie de l’intrigue prend place dans un monde parallèle. Les plus jeunes y trouveront sans doute leur compte, car il n’y a pas beaucoup de demi-mesures, l’univers reste très manichéen, sans bavure. Personnellement, je recherche des intrigues plus bigarrées et moins tranchées, mais c’est sans doute parce que je suis plus vieille, aussi. Cependant, je pense que j’aurais aimé ce roman à sa juste valeur si j’avais été plus jeune. Il réunit toutes les qualités pour séduire son public.
Certaines choses m’ont un peu dérangée par moment. D’abord, la structure du livre en elle-même. Des chapitres de 30-40 pages c’est long. Très très long. Et habituellement je n’aime pas tellement m’arrêter en plein milieu de l’intrigue, sans savoir quand stopper. Je pense que l’auteur aurait gagné à les couper pour rendre la lecture encore plus fluide.
Autre chose : si l’univers a très vite accaparé mon intérêt, j’ai tout de même été déçue que nos héros se lancent dans de dangereuses aventures uniquement pour… un stylo. Oui, oui, un banal stylo. C’est un peu puéril, un peu faible comme point de départ, même si la quête qui s’ensuit est prenante. Je peux comprendre que l’on soit attaché à certains objets, mais de là à mettre sa vie en danger et celle du monde entier…
Wizards est une saga qui me fait envie depuis un moment (comme tous les livres provenant de chez Lumen, en fait), et j’étais curieuse de me faire mon propre avis dessus. Les chroniques à son sujet étaient assez disparates, certaines personnes avaient beaucoup apprécié, d’autres trouvaient ça trop jeunesse. De mon côté, j’oscille un peu entre les deux. C’était une bonne lecture, très originale, mais je pense qu’avec une dizaine d’années de moi, j’aurais encore plus aimé l’histoire.
Nita a 13 ans. Jeune fille martyrisée à l’école, elle rentre souvent à la maison rouée de coups par une bande de camarades. Un jour, pour leur échapper, elle se réfugie dans une bibliothèque qu’elle connaît très bien. Là, elle tombe sur un livre étrange qui l’attire immédiatement. L’intérieur est pour le moins curieux : comment devenir sorcier en 10 leçons. Si elle croit à une farce, Nita se prend très vite au jeu, cependant. Sans savoir qu’en prononçant certains mots se trouvant dans le livre, elle scelle son destin à jamais.
Mais dans cette vie, elle ne sera pas toute seule. Elle fera la rencontre de Kit, un garçon âgé de 12 ans et doté lui aussi de pouvoirs particuliers. Ensemble, ils vont braver tous les dangers, sans se douter de ce qui les attend au tournant !
D’après ce que j’ai compris, Wizards est sorti en VO aux alentours des années 1980. Donc bien avant Harry Potter. C’est bon à savoir, car sur le coup, j’ai trouvé des similitudes avec la célèbre saga perturbantes. Bon, ça ne sautera peut-être pas aux yeux de tout le monde, mais en tant que grande amoureuse des aventures du sorcier à lunettes, eh bien j’ai rapidement tendance à le voir partout, haha ! Cela dit, dans Wizards, ces points communs ne m’ont pas le moins du monde dérangé.
Je me suis sentie immergée dans l’univers de Nita et Kit dès le début. Dès que je reposais le livre, j’avais du mal à ne pas le reprendre fissa, tellement il m’appelait. J’ai trouvé que les choses commençaient simplement, mais que le suspens enflait rapidement. Et puis l’auteur a poussé son imagination jusqu’au bout, car même la façon dont elle parle de la magie est innovante. Elle explique son origine sur base de faits scientifiques, afin de la rendre plus réaliste. J’avoue n’avoir pas tout compris (la physique quantique et moi ne sommes pas très copains), mais j’ai apprécié l’effort. Elle fait de la magie quelque chose de concret, de palpable. Et cette idée du Discours, de donner vie à tout ce qui nous entoure, même les choses inertes, j’ai adoré !
On s’immerge peu à peu dans ce vaste monde, au côté de héros qui n’ont pas froid aux yeux. J’ai tout particulièrement apprécié Fred, qui est un trou blanc, une espèce de lueur qui dégage toutes sortes d’ondes nocives. C’est un personnage qui déménage, aussi attachant qu’indispensable. J’ai trouvé qu’il ajoutait du punch à l’histoire.
Une partie de l’intrigue prend place dans un monde parallèle. Les plus jeunes y trouveront sans doute leur compte, car il n’y a pas beaucoup de demi-mesures, l’univers reste très manichéen, sans bavure. Personnellement, je recherche des intrigues plus bigarrées et moins tranchées, mais c’est sans doute parce que je suis plus vieille, aussi. Cependant, je pense que j’aurais aimé ce roman à sa juste valeur si j’avais été plus jeune. Il réunit toutes les qualités pour séduire son public.
Certaines choses m’ont un peu dérangée par moment. D’abord, la structure du livre en elle-même. Des chapitres de 30-40 pages c’est long. Très très long. Et habituellement je n’aime pas tellement m’arrêter en plein milieu de l’intrigue, sans savoir quand stopper. Je pense que l’auteur aurait gagné à les couper pour rendre la lecture encore plus fluide.
Autre chose : si l’univers a très vite accaparé mon intérêt, j’ai tout de même été déçue que nos héros se lancent dans de dangereuses aventures uniquement pour… un stylo. Oui, oui, un banal stylo. C’est un peu puéril, un peu faible comme point de départ, même si la quête qui s’ensuit est prenante. Je peux comprendre que l’on soit attaché à certains objets, mais de là à mettre sa vie en danger et celle du monde entier…
En résumé, malgré quelques petites erreurs de structure et de trame, L’initiation ouvre les portes sur un univers insoupçonné et particulièrement prometteur. Si le tome 1 pose les bases, il n’est pas dénué d’action et de retournements de situation. J’ai passé un agréable moment au côté de Nita, Kit et surtout Fred ! |
Nita est en vacances d’été sur les rives de la magnifique île de Long Island. Une nuit, sortie nager, elle croise dans les eaux tièdes un dauphin qui parle le langage des sorciers. Les rochers de la côte soufflent à son meilleur ami, Kit, venu passer quelques jours avec elle, qu’un danger imminent approche du rivage… Et voilà nos deux jeunes sorciers repartis en mission !
Entre animaux marins dotés de pouvoirs de sorcellerie, incantations vieilles comme le monde et regards inquisiteurs des parents de Nita, nos deux amis doivent ruser pour plonger découvrir les secrets ancestraux enfouis au fond de l’océan… et dont il va leur falloir maîtriser les arcanes, sous peine de mort ! |
La lecture de L’Initiation a été un agréable moment de lecture. Certes, il y avait quelques éléments qui m’avaient un peu chiffonnée, mais dans l’ensemble, c’était un livre intéressant qui laissait voir une magie peu commune. Eh bien dans Le Sacrifique (qui porte très bien son nom, ma foi), cette magie prend une ampleur que je n’aurais jamais cru possible. Et moi, lectrice, j’ai fait le grand plongeon dans les fonds marins !
Nita et Kit sont en vacances dans les Hamptons, à la plage. Voilà deux mois qu’ils ont évincé le Pouvoir Solitaire, et ce répit est bien mérité. Mais un vent de peur imprègne l’atmosphère, et les jeunes sorciers vont découvrir que le monde est en danger. Encore. Le Pouvoir Solitaire ne semble pas avoir dit son dernier mot et s’attaque à la nature même de la Terre.
Dans ce deuxième opus, nous retrouvons donc nos deux adolescents, plutôt remis de leurs dernières aventures dans le monde parallèle. Les embûches surmontés leur ont mis un peu de plomb dans la tête, et ils prennent vraiment la mesure de ce qu’être sorcier implique. Les vacances à la plage sont les bienvenues, et persuadés qu’ils vont passer des moments de détente, ils sont à des lieues de s’imaginer dans quoi ils s’apprêtent à embarquer. J’aimerais beaucoup vous en dire plus, mais cet ouvrage est tellement riche en suspens qu’il serait dommage de vous gâcher la surprise de la découverte.
De nouveaux personnages vont croiser leur route, essentiellement d’origine animale. Entre baleines, dauphins et requins, les héros mèneront une quête où la magie est, une fois de plus, au coeur de tout. Une magie que j’ai regardée avec de nouveaux yeux, dans un monde aquatique fascinant et très attirant. Diane Duane arrive encore une fois à mettre en place un monde très vaste qui donne la sensation d’être exilé loin, très loin.
Les fonds marins de l'océan Atlantique dégagent une ambiance sourde, presque paisible. J’ai vraiment eu l’impression d’être sous les mers, à l’instar de Nita et Kit. Il y a cette impression de majesté permanente (surtout en présence de S’reee), mais aussi de nervosité. Car la trame est pleine de tension, avec un suspens qui monte crescendo.
Là où je suis un peu plus sur la réserve, c’est que globalement, j’ai l’impression de savoir beaucoup de choses sur cette magie, mais en même temps presque rien. J’ai du mal à définir vraiment ce que je lis, car la façon qu’à Diane Duane de parler des sorciers est vague, tout en étant étonnamment précise à d’autres moments. Ça peut paraître contradictoire dit comme ça, mais pour un roman jeunesse, je pense que l’auteur n’aurait rien perdu à aller au plus facile. C’était un élément que j’avais ressenti dans le premier tome, sans parvenir à mettre le doigt sur le point qui me dérangeait.
Quant à nos héros, on les découvre un peu changés. Les liens qui les unissent sont plus solides que jamais (après tout, des aventures pareilles, ça renforce une amitié), mais ils réfléchissent plus avant d’employer la magie.Dans L’Initiation, ils y allaient à tâton, un peu comme des apprentis chimistes, mais dans Le Sacrifice, ces deux-là maîtrisent pour de bon la magie (même s’ils restent toujours dans l’apprentissage) ! Plus matures et plus décidés que jamais, ça fait des étincelles ! Et si je parle d’amitié, il m’a semblé déceler par moment de petites ambiguïtés, un peu comme si Cupidon était dans les parages. Hum, alors ?
En arrivant vers la fin, les choses s’accélèrent et l’action est omniprésente. On se sent étonnamment impliqué dans l’histoire et impossible de ne pas le finir d’une traite. J’ai aimé cette fin et ce qu’elle impliquait. Le troisième tome risque d’être assez différent, de ce fait. Alors on pourrait dire que tout est assez “facile” pour les héros, mais personnellement, je n’aime pas les confrontations à rallonge, et je ne pense pas que le public visé s’en plaindra. Et puis comme dans le premier tome, Diane Duane glisse une morale qui donne à réfléchir : l'importance de l'écologie et de protéger notre faune et notre flore.
Depuis qu’elle a découvert que sa sœur Nita était une sorcière, Dairine n’a plus qu’une seule idée en tête : rejoindre ce club très fermé ! Elle brûle d’accomplir un acte héroïque qui changerait à jamais la face du monde. Sans se préoccuper des conséquences, elle plonge donc son nez dans le manuel de sorcellerie de sa sœur pour prêter serment.
Lorsque, le lendemain matin, les Callahan reçoivent leur nouvel ordinateur, Dairine ne fait ni une, ni deux : elle le déballe, s’empare de la souris… et la voilà partie pour un voyage intergalactique ! Accompagnés de Picchu, l’oiseau doué de prémonition, Kit et Nita vont devoir se |
lancer, de planète en planète, aux trousses de la jeune insouciante, complètement inconsciente du danger qui la menace. Car c’est le Pouvoir Solitaire, et nul autre, qui l’attend au bout du périple…
Non seulement la couverture est magnifique, mais le contenu vaut aussi le coup d’oeil ! Ce qui est bien avec cette saga, c’est que le premier tome commence gentiment, mais plus on avance dans les aventures de Nita et Kit, plus on admire l’originalité et la créativité de Diane Duane.
Après des aventures hors du commun, nous retrouvons Nita et Kit, de retour chez eux. Et les choses sont nettement différentes maintenant que la famille de Nita a pris connaissance de ses pouvoirs. Si le premier tome s’inscrivait dans l’initiation de nos jeunes sorciers, le tome 2 nous plongeait dans les fonds marins… eh bien ici, l’auteur nous embarque dans l’espace !
Et ce que j’ai aimé, c’est qu’on oubliait un peu Nita et Kit, au profit de Dairine, la jeune soeur de Nita. Aussi solitaire que déterminée, la jeune fille est fermement décidée à devenir une sorcière elle aussi. Et lorsque sans réfléchir elle se lance dans le cosmos, défiant ainsi les règles de prudence élémentaires, Nita et Kit n’ont pas d’autre choix que d’aller la chercher. Mais le Pouvoir Solitaire rôde toujours dans les parages et Dairine l’indomptable risque d’en avoir pour ses frais !
Je n’ai qu’un mot pour décrire ces pérégrinations : wouahou ! Autant j’avais bien aimé les deux premiers opus, autant celui-ci est fouillé, profond et pensé dans les moindres détails. Entre fantastique et science-fiction, L’Éveil nous laisse le souffle court et estomaqué face à la richesse de la trame.
Pour son voyage initiatique, Dairine n’aura pas accès à un livre comme sa soeur, mais à un ordinateur. J’ai trouvé ça audacieux et ça collait bien avec le tempérament de la jeune fille. Alors certes, elle est très (peut-être trop) mature pour son âge, mais son rapport avec la magie est plus moderne. Dès que l’on se retrouvait de son point de vue, l’histoire me captivait et je ne relâchais jamais mon attention. Il y a un vrai côté addictif derrière, un petit je ne sais quoi qui nous pousse à soutenir Dairine et à partager son ébahissement. Encore une fois, Diane Duane fait preuve d’une inspiration sans borne.
Ma partie préférée reste le dernier tiers, lorsqu’elle se retrouve sur la carte-mère. La magie de Dairine prend une dimension totalement inattendue, pour mon plus grand bonheur. Et sans mentir, j’ai trouvé ça plus sympa, car c’était nouveau. Faire de la magie en pianotant sur un clavier et en donnant ses instructions à un Mac, vous imaginez ? Moi j’ai surkiffé le concept !
L’histoire s’enchaîne remarquablement bien. Le rythme est bon, haletant et entrainant. Certains termes ou tournures de phrases sont peut-être parfois un peu trop compliqués pour un novice de l'informatique, mais ça reste dans le thème et ça nous immerge un peu plus dans l'univers scientifique. On découvre un nouveau pan de la magie qui, décidément, n’a aucune frontière ! Concernant la plume, elle est dans la continuité des premiers livres et nous fait voyager comme jamais. L’auteur semble avoir des connaissances massives dans le domaine de l’astronomie et nous en parle avec aisance et passion.
J’ai adoré Dairine, son côté débrouillard, son tempérament de feu, mais aussi son imprudence. Même si j’aimais bien Nita et Kit, j’ai préféré me retrouver de son point de vue afin de la suivre dans ses bonds de planètes en planètes, de système en système. C’est une jeune fille très caractérielle et avide d’apprendre et de tout maîtriser. Alors bien sûr, elle a tendance à ne pas réfléchir aux conséquences néfastes de ses actes, mais c’est ce qui fait sa personnalité si amusante.
En aparté, la relation entre Kit et Nita prend un nouveau tournant. C’est la période de l’adolescence et des hormones en ébullition. Diane Duane amorce un gentil virage les concernant. Est-ce que leur relation restera platonique et uniquement basée sur l’amitié ? Ou y a-t-il quelque chose de sous-jacent comme des sentiments naissants ? J’ai bien envie d’en savoir plus à ce sujet !
En résumé, un nouvel opus bourré de rebondissements et carrément dépaysant. Grâce à une grande créativité, Diane Duane nous embarque dans la galaxie et nous fait frissonner aux côtés de Dairine. La magie se dévoile sous des aspects différents et la fin nous laisse sur une faim grandissante. J’ai passé un très bon moment et j'en redemande.
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REMERCIEMENTS
Je remercie Livraddict et les éditions Lumen pour ce partenariat.