Depuis ce matin, Silas et Charlie ne savent plus qui ils sont ni quel est leur passé.
Pourtant, ils devraient avoir beaucoup de souvenirs communs. Ils se connaissent depuis longtemps et ont toujours été ensemble. Il leur faut maintenant reconstituer leur passé et se redécouvrir mutuellement. Et surtout, ne plus jamais, jamais oublier. |
Voilà quelque temps que Colleen Hoover est devenue une de mes romancières préférées. Ses histoires d’amour partent de rien, mais me bouleversent à tous les coups. Lorsque Never never est arrivé, j’ai été surprise par sa petite taille. Me connaissant, je savais que j’allais le lire très vite, mais je me demandais comment il serait possible de mettre en place une intrigue solide en moins de 200 pages. Heureusement, les auteurs ont su réaliser cet exploit. Never never est un coup de coeur !
L’histoire commence avec Charlie qui se retrouve, elle ne sait trop comment, en plein milieu d’une classe de lycéens. Elle ignore qui elle est et ce qu’elle fait ici. De son côté, Silas vit la même chose et est tout aussi déboussolé. Ensemble, ils vont chercher à en apprendre plus sur leur passé respectif et sur cet événement perturbant. Ils se souviennent des choses simples et élémentaires, mais dès que ça touche quelque chose de personnel, c’est le néant. De fil en aiguille, ils apprendront qu’ils sont en couple depuis 4 ans, et que chacun a soigneusement caché ses secrets. Que s’est-il passé pour qu’ils perdent la mémoire ? Peut-on se reconstruire et repartir à zéro sur des bases aussi fumeuses ?
Ce roman, à la lisière entre romance et fantastique, est une incroyable immersion. Colleen Hoover et Tarryn Fisher ont réussi le pari fou de construire une intrigue nébuleuse et impossible à lâcher, où le mystère est sans cesse entretenu. D’ordinaire, un livre de 200 pages se lit très vite, mais là, je suis totalement restée sur ma faim. Cette histoire est hautement addictive et nous place au coeur d’une situation indémêlable. Dans mon esprit, j’élaborais des hypothèses de plus en plus farfelues.
L’aura énigmatique qui plane au-dessus des héros est renforcée par un passé qui ressurgit et fait de terribles ravages sur son passage. Charlie et Silas se retrouvent dans une situation peu enviable : s'ils disent qu'ils ont perdu leurs souvenirs, tout le monde les prendra pour des fous. Alors pour comprendre d'où ils viennent et quelle vie ils ont menée auparavant, ils vont déterrer des secrets de famille et se retrouver face à des vérités qui ne sont pas très agréables à entendre.
Au-delà de l’aspect inexplicable de l’intrigue, ce roman est plein de nuances, il lève le voile sur les failles de ses personnages. Leur vie peut s’appliquer chez n’importe qui, et même si la situation est entortillée, les auteurs nous montrent qu’il y a toujours de l’espoir.
On apprend à connaître Silas et Charlie en même temps qu’ils en apprennent sur eux. C’est assez étrange de se retrouver dans la tête de quelqu’un qui ne sait rien de lui-même. Ils incarnent des personnages loin d’être parfaits, mais c’est aussi ce qui les rend si attachants. Charlie est assez brut de décoffrage, Silas se montre plus volubile. Ils sont différents, mais doivent apprendrent à composer avec ces différences pour avancer, pour s’apprécier, pour s’aimer…
Les plumes des auteurs se marient à merveille. Pas le moindre à-coup brutal, pas une seule fausse note. Ils mènent leur récit dans une symbiose parfaite, nous offrant deux points de vue riches et originaux. Le rythme est particulièrement bon. Si je n’ai pas vu les pages défiler, j’ai tout de même remarqué que l’intrigue était très bien élaborée, et que tout était correctement posé. C’est assez fou qu’ils soient parvenus à me faire croire dur comme fer à cette histoire en seulement 200 pages.
Et la fin… tout s’accélère en seulement quelques lignes, mon coeur s’est mis à battre la chamade. Colleen Hoover et Tarryn Fisher ont sorti leur ultime carte, laissant entendre que ce qui arrive est encore plus dingue et encore plus incroyable que ce que l’on peut penser aux premiers abords. Je ne vous raconte pas à quel point je trépigne en attendant la suite !
En résumé, Never never est une superbe romance sur fond de surnaturel. Colleen Hoover m’a une fois encore bluffée, et sa collaboration avec Tarryn Fisher fait de ce livre une petite merveille, un bonbon acidulé qui se dévore en quelques heures à peine. Des secrets de famille, un inconnu vertigineux et des mystères à foison... pas de surprise, c’est un coup de cœur ! Je me demande vraiment comment je vais tenir en attendant la suite. Vite, vite !
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Silas et Charlie sont toujours frappés par la même affliction : ils ont perdu tous leurs souvenirs.
Ils en savent un peu plus sur eux-mêmes mais ignorent encore la raison de leurs problèmes. Ils vont devoir continuer à enquêter sur leur passé, explorer chaque piste, chaque petit indice qu'ils ont laissé derrière eux. Il en va de leur avenir et peut-être de leur bonheur. |
Wouhaou wouahou wouahou ! Lorsque j'ai découvert ce deuxième tome dans ma boite aux lettres, c’était la fête dans ma tête. Je savais que j’allais le lire le soir même, que j’allais me régaler et que, bien évidemment, j’allais finir très frustrée, sachant qu’il s’agit d’une trilogie. Comme je m’y attendais, cette suite est un coup de coeur. J’ai totalement succombé à la magie des mots de Colleen Hoover et Tarryn Fisher !
Attention, si vous n’avez pas lu le tome précédent, ne lisez pas ce paragraphe, passez directement au suivant. À la fin du tome 1, nous avions laissé Silas et Charlie dans une situation critique. Ils étaient séparés et sur le point de perdre à nouveau leurs souvenirs. Dans cette saison 2, on suit nos deux protagonistes dans une situation radicalement différente. Silas doit s’accommoder du néant qui lui sert de souvenirs, mais heureusement, l’ancien Silas lui a laissé des directives qui lui permettent de comprendre en partie ce qui lui arrive. Du côté de Charlie, c’est on ne peut plus compliqué. La jeune fille se réveille dans une sorte de chambre d’hôpital psychiatrique. À l’instar de Silas, elle ne sait ni qui elle est, ni ce qui lui arrive. Mais petit bonus en rab, elle n’a aucune idée de là où elle se trouve ni pourquoi personne ne lui donne d’explication. Vont-ils réussir à tirer cette histoire au clair ?
Je ne vous raconte pas combien je suis jouasse d’avoir découvert cette saga. Hélas, en voyant le nombre de pages, j’ai légèrement déchanté. 151 et pas la moindre assurance d’obtenir des éclaircissements au bout du compte sachant qu’un dernier opus sortira en janvier 2017. Je commençais donc en gardant en tête que j’allais finir frustrée, avec une envie impérieuse d’avoir la suite et fin. Ça n’a pas loupé. Cette série est définitivement géniale, mais attendre entre chaque tome, c’est une torture !
Nous retrouvons nos personnages là où on les avait laissés (ou presque). Dans cette saison 2, Silas tient une place particulièrement importante puisqu’il se retrouve sans Charlie et avec une liasse de papiers pour seuls souvenirs. Il n’a pas d’autre choix que d’avancer, d’essayer de comprendre la nature de sa relation avec cette jeune fille mystérieuse et faire de son mieux, jusqu’à la prochaine vague d’amnésie. Il n’a que 48h pour retrouver Charlie et chercher la vérité. Pourquoi perdent-ils leurs souvenirs de manière récurrente ?
À côté de ça, on en apprend plus sur la nature du conflit qui oppose leurs familles respectives. Le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est de plus en plus problématique et je me demande comment les auteurs vont parvenir à dénouer cette situation. Quoi qu’il en soit, le livre en lui-même est un méli-mélo bourré de mystères insolubles. Quand je vous dis que je suis pressée d’avoir le tome 3…
Les personnages nous régalent de leurs incertitudes. Il y a toujours cet amour prégnant entre Silas et Charlie. Même s’ils ne se connaissent pas/plus, même s’ils ont tout oublié, à commencer par les moments partagés à deux, quelque chose d’indéfinissable les relie l’un à l’autre. Colleen Hoover et Tarryn Fisher ont très bien compris la notion d’âmes soeurs, pour le coup…
Pour un livre rédigé à quatre mains, je trouve que les styles d’écritures se marient à la perfection. À aucun moment on ne tombe dans les mièvreries et bien au-delà de la romance, cette saga met l’accent sur le suspens, les mystères et le drame. Là encore, tout en subtilité, en élégance… et en frustration ! Pour vous donner un simple exemple : la dernière phrase du livre n’est pas terminée. Vous voyez le tableau ?
Dernière appartée concernant Colleen Hoover. Jusqu’à maintenant, je n’avais lu que des livres d’elle dans lesquels ses personnages se montraient altruistes, très matures et réfléchis. C’est d’ailleurs une de ses particularités que j’aime le plus, car elle fait chaque fois ressortir le meilleur de ses héros. Dans Never never, elle et Tarryn Fisher nous dévoilent des personnages déboussolés, qui vont se découvrir un passé loin d’être irréprochable. Ils sont simplement… humains, ils font de graves erreurs, comme tout un chacun, et c’est cette fêlure que j’aime le plus, je crois.
Wouhaou wouahou wouahou ! Lorsque j'ai découvert ce deuxième tome dans ma boite aux lettres, c’était la fête dans ma tête. Je savais que j’allais le lire le soir même, que j’allais me régaler et que, bien évidemment, j’allais finir très frustrée, sachant qu’il s’agit d’une trilogie. Comme je m’y attendais, cette suite est un coup de coeur. J’ai totalement succombé à la magie des mots de Colleen Hoover et Tarryn Fisher !
Attention, si vous n’avez pas lu le tome précédent, ne lisez pas ce paragraphe, passez directement au suivant. À la fin du tome 1, nous avions laissé Silas et Charlie dans une situation critique. Ils étaient séparés et sur le point de perdre à nouveau leurs souvenirs. Dans cette saison 2, on suit nos deux protagonistes dans une situation radicalement différente. Silas doit s’accommoder du néant qui lui sert de souvenirs, mais heureusement, l’ancien Silas lui a laissé des directives qui lui permettent de comprendre en partie ce qui lui arrive. Du côté de Charlie, c’est on ne peut plus compliqué. La jeune fille se réveille dans une sorte de chambre d’hôpital psychiatrique. À l’instar de Silas, elle ne sait ni qui elle est, ni ce qui lui arrive. Mais petit bonus en rab, elle n’a aucune idée de là où elle se trouve ni pourquoi personne ne lui donne d’explication. Vont-ils réussir à tirer cette histoire au clair ?
Je ne vous raconte pas combien je suis jouasse d’avoir découvert cette saga. Hélas, en voyant le nombre de pages, j’ai légèrement déchanté. 151 et pas la moindre assurance d’obtenir des éclaircissements au bout du compte sachant qu’un dernier opus sortira en janvier 2017. Je commençais donc en gardant en tête que j’allais finir frustrée, avec une envie impérieuse d’avoir la suite et fin. Ça n’a pas loupé. Cette série est définitivement géniale, mais attendre entre chaque tome, c’est une torture !
Nous retrouvons nos personnages là où on les avait laissés (ou presque). Dans cette saison 2, Silas tient une place particulièrement importante puisqu’il se retrouve sans Charlie et avec une liasse de papiers pour seuls souvenirs. Il n’a pas d’autre choix que d’avancer, d’essayer de comprendre la nature de sa relation avec cette jeune fille mystérieuse et faire de son mieux, jusqu’à la prochaine vague d’amnésie. Il n’a que 48h pour retrouver Charlie et chercher la vérité. Pourquoi perdent-ils leurs souvenirs de manière récurrente ?
À côté de ça, on en apprend plus sur la nature du conflit qui oppose leurs familles respectives. Le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est de plus en plus problématique et je me demande comment les auteurs vont parvenir à dénouer cette situation. Quoi qu’il en soit, le livre en lui-même est un méli-mélo bourré de mystères insolubles. Quand je vous dis que je suis pressée d’avoir le tome 3…
Les personnages nous régalent de leurs incertitudes. Il y a toujours cet amour prégnant entre Silas et Charlie. Même s’ils ne se connaissent pas/plus, même s’ils ont tout oublié, à commencer par les moments partagés à deux, quelque chose d’indéfinissable les relie l’un à l’autre. Colleen Hoover et Tarryn Fisher ont très bien compris la notion d’âmes soeurs, pour le coup…
Pour un livre rédigé à quatre mains, je trouve que les styles d’écritures se marient à la perfection. À aucun moment on ne tombe dans les mièvreries et bien au-delà de la romance, cette saga met l’accent sur le suspens, les mystères et le drame. Là encore, tout en subtilité, en élégance… et en frustration ! Pour vous donner un simple exemple : la dernière phrase du livre n’est pas terminée. Vous voyez le tableau ?
Dernière appartée concernant Colleen Hoover. Jusqu’à maintenant, je n’avais lu que des livres d’elle dans lesquels ses personnages se montraient altruistes, très matures et réfléchis. C’est d’ailleurs une de ses particularités que j’aime le plus, car elle fait chaque fois ressortir le meilleur de ses héros. Dans Never never, elle et Tarryn Fisher nous dévoilent des personnages déboussolés, qui vont se découvrir un passé loin d’être irréprochable. Ils sont simplement… humains, ils font de graves erreurs, comme tout un chacun, et c’est cette fêlure que j’aime le plus, je crois.
En résumé, encore un retentissant coup de coeur ! Never never est une série qui se lit à la vitesse de l’éclair, mais qui se savoure comme une délicate sucrerie. Je suis complètement tombée sous le charme de cette course vers la vérité, et je n’ai qu’une hâte, celle de connaître le fin mot de l’intrigue. Je regrette néanmoins que chaque tome soit si court. Ça entretient le mystère, mais je ne suis pas très sûre que ce soit bon pour mes nerfs, ah ah ! |
Silas et Charlie ont maintenant mieux compris ce qui leur arrive. Ils ont réussi à développer une stratégie pour reconstruire leur passé, découvrir ce qu’ils étaient l’un pour l’autre, s’apprivoiser à nouveau.
Ils sont sur le point, ensemble, de savoir pourquoi ils perdent ainsi la mémoire. Car s’ils ont maintenant une idée claire de ce qui se passe, la cause demeure mystérieuse. Silas et Charlie ont appris qu’ils étaient amoureux avant ces pertes de mémoire mais que cet amour s’est brisé. Pourront-ils aussi se retrouver au-delà de cette perte de leurs souvenirs ? Car leur amour était de ceux qui ne disparaissent jamais. |
Never never a été LA révélation de 2016, le roman que j’attendais avec une impatience sans cesse renouvelée. Le premier tome m’avait secouée comme une tornade, le deuxième n’avait fait qu’alimenter ma curiosité et mon envie de connaître le fin mot de l’histoire. J’aimais tout particulièrement cette aura de mystère qui planait autour de Charlie et Silas, ce mélange d’inexplicable et de mysticisme… De fait, lorsque le tome 3 est arrivé dans ma boîte aux lettres, j’ai sauté de joie (au sens littéral du terme). Enfin, j’allais savoir, j’allais comprendre !
Pour la petite histoire, Silas et Charlie sont toujours bloqués dans cette spirale infernale qu’est devenue leur vie. Toutes les 48 heures, leurs souvenirs s’effacent. Ils ne savent ni pourquoi ni comment ce phénomène est possible. Dans le tome précédent, Silas a fait tout son possible pour retrouver Charlie et rassembler le plus de souvenirs possible. Nous les avions laissés à nouveau réunis, mais pour quelques secondes, seulement, avant que leurs souvenirs leur échappent à nouveau et qu’ils doivent tout recommencer à zéro. Sauf que cette fois-ci, les choses ne se passent pas tout à fait comme d’habitude, et le couple n’a jamais été aussi proche de la vérité.
Nous reprenons le récit là où nous nous étions arrêtés, après que les auteurs nous aient laissés avec une phrase incomplète (graaah, quelle frustration !), et comme je m’y attendais, les choses sont loin de se répéter. On pourrait croire que chaque réveil n’est qu’une énième scène qui sent le réchauffé, mais Colleen Hoover et Tarryn Fisher ont chaque fois eu la bonne idée de nous offrir des situations différentes, et toujours chargées de mystères.
Je n’ai pas mis beaucoup de temps à dévorer cet ultime opus, même si je l’ai trouvé nettement en dessous des tomes précédents. Je n’ai pas été séduite par l’explication des amnésies de nos héros. Durant les tomes précédents, les auteurs ont développé d’autres pistes, plus complexes, plus occultes et plus fascinantes, qui finalement n’ont abouti à rien. Par exemple, la raison pour laquelle Charlie a été enfermée est définitivement trop simpliste, alors qu’elle aurait fait une accroche du tonnerre. J’ai eu cette désagréable impression de me faire balader durant deux tomes (deux tomes que j’ai adoré !), pour une résolution d’intrigue somme toute assez évidente, qui était sous notre nez depuis le tout début. C’est le problème lorsque l’on s’attend à quelque chose d’extraordinaire, on finit par rester un peu sur notre faim.
Même si je n’ai pas adhéré à cette conclusion, j’ai néanmoins apprécié les messages qu’elle sous-entendait. Le pouvoir de l’amour, les sentiments qui peuvent tout traverser, que ce soit le temps ou l’oubli. J’ai aimé voir l’amour éclore une nouvelle fois entre Silas et Charlie, j’ai aimé assister à leurs aventures, à la recherche d’une vérité qui leur échappe et qui échappe aux plus cartésiens d’entre nous.
En résumé, Never Never est une saga qui se lit à la vitesse de l’éclair, qui se savoure et que j’ai beaucoup appréciée. Je ne cacherai pas que j’ai été un peu déçue par la fin trop simpliste, alors que les tomes précédents laissaient entendre quelque chose d’autrement plus extraordinaire, mais je suis tout de même ravie d’avoir découvert les aventures du couple. Des aventures chargées en secrets et en non-dits. Je pense que le plus gros point fort de cette saga, c’est que la pression monte chaque fois d’un cran, mais que l’amour entre Silas et Charlie, lui, reste intact.
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MA NOTE FINALE :
INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
DE LA MÊME AUTRICE (Tarryn Fisher) :
Love me with lies
DE LA MÊME AUTRICE (Colleen Hoover) :
À première vue
Confess
Hopeless
Jamais plus
Maybe Someday
November 9
Ugly love
Verity
Love me with lies
DE LA MÊME AUTRICE (Colleen Hoover) :
À première vue
Confess
Hopeless
Jamais plus
Maybe Someday
November 9
Ugly love
Verity
REMERCIEMENTS
Je remercie Déborah ainsi que les éditions Hugo Roman pour cet envoi et pour leur confiance.