Tessa est une fille gentille avec un adorable petit ami, Noah. Elle est décidée, ambitieuse et sa mère veille à ce que cela continue. Mais elle vient à peine de s'installer dans son dortoir d'étudiante qu'elle se heurte à Hardin. Avec ses cheveux châtains ébouriffés, son p... d'accent anglais, ses tatouages et son piercing sur la lèvre, Hardin est vraiment mignon et tellement différent des garçons qu'elle connaît. Mais il est aussi grossier, voire violent et Tessa devrait donc le détester... Ce qu'elle fait jusqu'au jour où elle se retrouve seule avec lui. Quelque chose du caractère sombre d'Hardin l'attire et leur baiser fait naître en elle une passion jusqu'alors inconnue. Il lui dit qu'elle est belle,
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qu'il n'est pas un garçon pour elle et il disparait, et ce à plusieurs reprises. Malgré la façon dont il la traite, Tessa va chercher au plus profond d'Hardin et derrière ses mensonges qui il est réellement. Plus il la repousse et plus Tessa sera entraînée plus près du gouffre. Tessa a déjà un petit ami parfait. Alors pourquoi fait-elle tant d'efforts pour surmonter sa fierté blessée et les ravages qu'Hardin fait à de belles filles comme elle ? À moins que... ce ne soit ça l'amour ?
J'ai aimé : l’addictivité est là et c’est impossible à lâcher, les bouleversements, la fin
Je n'ai pas aimé : énormément de surenchère, de la redondance, des longueurs, la fin
Je n'ai pas aimé : énormément de surenchère, de la redondance, des longueurs, la fin
Il m’est arrivé de veiller très tard pour terminer un livre. En revanche, veiller tellement tard, au point de terminer un roman à 10h du matin, c’est une grande première ! Mon amie Aliybooks me l’a tellement bien vendu, me parlant de la fin avec emphase, que je n’ai pas hésité bien longtemps. Résultat, je ressors sous le choc, comme un boxeur qui aurait reçu un uppercut en plein nez.
C’est l’histoire de Tessa, une jeune fille qui s’apprête à faire son entrée à l’université. Tessa est entourée par une mère stricte mais aimante, et un petit ami adorable qu’elle a toujours connu. Elle s’est fait une idée bien précise de l’université, et est impatiente de commencer les cours, en élève modèle qui se respecte. Hélas, elle déchante en découvrant sa camarade de chambrée, bardée de tatouages et flanquée de deux garçons à l’air passablement mauvais. Sans parler qu’avec l’un d’entre eux, la tension s’installe immédiatement. Hardin semble bien décidé à lui faire comprendre qu’il ne l’apprécie pas, mais une irrésistible attraction ne tarde pas à s’installer entre eux. Partagée entre son amour pour son petit ami et la passion qui la lie à Hardin, Tessa ne sait plus où donner de la tête. Sans compter que le bad boy a beaucoup de secrets qu’il n’est pas très bon de vouloir déterrer.
En terminant le livre, complètement bouleversée et avec mes yeux pour pleurer, j'ai pressenti que commencer cette chronique allait être délicat. Je me suis fait la réflexion : « Ma fille, tu vas galérer à retranscrire l'ouragan dans ta tête ». Car oui, j'étais tout simplement dans l'incapacité morale de définir l'étendue de mon choc et de mes sentiments. J’écris donc cette chronique avec plus de recul, puisque plus d’une semaine est déjà passée, et mon avis sur le roman en lui-même n’a cessé d’évoluer entre temps. Quelques minutes/heures après ma lecture, tout est sens dessus dessous, mais aujourd’hui, j’ai un regard beaucoup plus sévère, ce qui se ressentira dans cette chronique.
Commençons déjà par les points négatifs… J'ai trouvé le livre assez long et redondant dans son ensemble. Les héros se déchirent, puis se rabibochent sans discontinuer. C’est un schéma que l’on retrouve systématiquement, l’impression du calme avant la tempête, ce qui finit par rendre l’histoire prévisible. Et cette surenchère perpétuelle, comme si chaque dispute était toujours moins violente que la prochaine…
Étonnamment, j'ai été facilement prise au piège dans cette spirale infernale, je me suis passionnée en assistant à ces prises de bec. C'est assez contradictoire, je sais. Le roman est loin d'être parfait, mais il a su faire vibrer quelque chose au fond de moi. Quelque chose d'indéfinissable.
Pourtant, ça ne partait pas très bien. Au début, je trouvais le duo antipathique, imbuvable et insupportable ! Il m’a bien fallu 150 pages pour commencer à les apprécier. Tessa, c'est la fille modèle, sage, avec un balai dans le derch (pardonnez-moi l'expression, mais je ne trouve pas de terme plus élégant). Jamais un pli de travers, niaise, prude et toujours tirée à quatre épingles. Inutile de préciser qu'au début je l'avais vraiment dans le nez. Et puis tout doucement, on apprend à la connaître. Son passé permet de vraiment comprendre ses réactions et ses attitudes. Ce qui peut s'apparenter à de l'arrogance ou de la raideur, c'est uniquement sa manière de se protéger et de s'assurer un avenir à l'abri du besoin. La présence de Harden la sort de sa zone de confort. Concernant son petit ami Noah, il est très vite limpide que Tessa se voile la face et essaie de noyer sa culpabilité derrière des mensonges et une joie forcée. Je n’est pas été surprise quant à la tournure des événements.
Vous l’aurez compris, avec Tessa, ça a été compliqué. Elle est un peu gamine. Si sur certains points elle est définitivement trop sérieuse, sur d'autres, elle se comporte comme une petite fille. Certaines de ses réactions vis-à-vis de Noah ou Hardin sont trop immatures, trop irréfléchies. Comme si toute sa vie, elle n'avait jamais eu l'occasion de se comporter en ado et qu'elle rattrapait le temps perdu.
Hardin, maintenant. Même maintenant, avec du recul et une vue d’ensemble, je serais bien en peine de vous le dépeindre correctement. J’ai mis du temps avant de m’attacher à ce personnage. Parce que dès le départ, je l’ai trouvé… foncièrement méchant. Mais quand je dis méchant, c’est de la pure méchanceté, gratuite et injustifiée. C’est le genre de personnages qui a tellement souffert par le passé, qu’il compense en faisant mal en retour. Je n’arrive pas à me positionner le concernant, car sa part de noirceur n’est pas feinte, il est évident dès le départ qu’il est toxique. La fin nous confirme très bien qu’il abîme tout ce qu’il touche. Hardin, est autodestructeur par nature. Voilà.
Leur couple est assez malsain, il faut le dire. Il y a quelque chose qui cloche, même s’il est difficile de mettre le doigt dessus avant les dernières pages. Cela dit j’ai apprécié l’immaturité des personnages, à la lisière de l’âge adulte. Ça me plaît. Parce que l'amour n'est pas une notion mature. On perd tout discernement par amour, on peut faire n'importe quoi par amour. Tessa et Hardin commencent mal parce qu’ils ne la jouent pas réglo l’un avec l’autre, mais on ne peut pas s’empêcher d’espérer et de croiser les doigts.
Maintenant, la fin. La fin qui, d’après Aliybooks, était tout juste soutenable. La fin qui m’a fait complètement partir en vrille. J’ai eu envie de fondre en larmes. Je vous assure, ça ne s’est joué à rien. J’étais bouleversée, sous le choc et tellement en colère ! Toutes nos émotions se retrouvent débridées, au point qu’on ne sait même plus comment réagir, tellement on est hébété. Je ne m’attendais pas à un tel revirement de situation.
Concernant la plume, je ne vais pas vous mentir, ce n’est pas de la très grande littérature. C’est très simple, efficace, et l’effet addictif est là, c’est indéniable. Par contre 600 pages, outch, pardon, mais c’est beaucoup trop ! Sachant que le rythme est redondant, je pense que l’auteur aurait gagné à supprimer certaines scènes inutiles, qui n’apportent rien de plus à l’intrigue initiale. Je comprends pourquoi cette histoire a fait le buzz sur Wattpad. Chaque chapitre est comme un nouvel épisode de feuilleton. Lire un chapitre par semaine, ça passe sans problème. Mais tout d’une traite, attention à l’indigestion…
C’est l’histoire de Tessa, une jeune fille qui s’apprête à faire son entrée à l’université. Tessa est entourée par une mère stricte mais aimante, et un petit ami adorable qu’elle a toujours connu. Elle s’est fait une idée bien précise de l’université, et est impatiente de commencer les cours, en élève modèle qui se respecte. Hélas, elle déchante en découvrant sa camarade de chambrée, bardée de tatouages et flanquée de deux garçons à l’air passablement mauvais. Sans parler qu’avec l’un d’entre eux, la tension s’installe immédiatement. Hardin semble bien décidé à lui faire comprendre qu’il ne l’apprécie pas, mais une irrésistible attraction ne tarde pas à s’installer entre eux. Partagée entre son amour pour son petit ami et la passion qui la lie à Hardin, Tessa ne sait plus où donner de la tête. Sans compter que le bad boy a beaucoup de secrets qu’il n’est pas très bon de vouloir déterrer.
En terminant le livre, complètement bouleversée et avec mes yeux pour pleurer, j'ai pressenti que commencer cette chronique allait être délicat. Je me suis fait la réflexion : « Ma fille, tu vas galérer à retranscrire l'ouragan dans ta tête ». Car oui, j'étais tout simplement dans l'incapacité morale de définir l'étendue de mon choc et de mes sentiments. J’écris donc cette chronique avec plus de recul, puisque plus d’une semaine est déjà passée, et mon avis sur le roman en lui-même n’a cessé d’évoluer entre temps. Quelques minutes/heures après ma lecture, tout est sens dessus dessous, mais aujourd’hui, j’ai un regard beaucoup plus sévère, ce qui se ressentira dans cette chronique.
Commençons déjà par les points négatifs… J'ai trouvé le livre assez long et redondant dans son ensemble. Les héros se déchirent, puis se rabibochent sans discontinuer. C’est un schéma que l’on retrouve systématiquement, l’impression du calme avant la tempête, ce qui finit par rendre l’histoire prévisible. Et cette surenchère perpétuelle, comme si chaque dispute était toujours moins violente que la prochaine…
Étonnamment, j'ai été facilement prise au piège dans cette spirale infernale, je me suis passionnée en assistant à ces prises de bec. C'est assez contradictoire, je sais. Le roman est loin d'être parfait, mais il a su faire vibrer quelque chose au fond de moi. Quelque chose d'indéfinissable.
Pourtant, ça ne partait pas très bien. Au début, je trouvais le duo antipathique, imbuvable et insupportable ! Il m’a bien fallu 150 pages pour commencer à les apprécier. Tessa, c'est la fille modèle, sage, avec un balai dans le derch (pardonnez-moi l'expression, mais je ne trouve pas de terme plus élégant). Jamais un pli de travers, niaise, prude et toujours tirée à quatre épingles. Inutile de préciser qu'au début je l'avais vraiment dans le nez. Et puis tout doucement, on apprend à la connaître. Son passé permet de vraiment comprendre ses réactions et ses attitudes. Ce qui peut s'apparenter à de l'arrogance ou de la raideur, c'est uniquement sa manière de se protéger et de s'assurer un avenir à l'abri du besoin. La présence de Harden la sort de sa zone de confort. Concernant son petit ami Noah, il est très vite limpide que Tessa se voile la face et essaie de noyer sa culpabilité derrière des mensonges et une joie forcée. Je n’est pas été surprise quant à la tournure des événements.
Vous l’aurez compris, avec Tessa, ça a été compliqué. Elle est un peu gamine. Si sur certains points elle est définitivement trop sérieuse, sur d'autres, elle se comporte comme une petite fille. Certaines de ses réactions vis-à-vis de Noah ou Hardin sont trop immatures, trop irréfléchies. Comme si toute sa vie, elle n'avait jamais eu l'occasion de se comporter en ado et qu'elle rattrapait le temps perdu.
Hardin, maintenant. Même maintenant, avec du recul et une vue d’ensemble, je serais bien en peine de vous le dépeindre correctement. J’ai mis du temps avant de m’attacher à ce personnage. Parce que dès le départ, je l’ai trouvé… foncièrement méchant. Mais quand je dis méchant, c’est de la pure méchanceté, gratuite et injustifiée. C’est le genre de personnages qui a tellement souffert par le passé, qu’il compense en faisant mal en retour. Je n’arrive pas à me positionner le concernant, car sa part de noirceur n’est pas feinte, il est évident dès le départ qu’il est toxique. La fin nous confirme très bien qu’il abîme tout ce qu’il touche. Hardin, est autodestructeur par nature. Voilà.
Leur couple est assez malsain, il faut le dire. Il y a quelque chose qui cloche, même s’il est difficile de mettre le doigt dessus avant les dernières pages. Cela dit j’ai apprécié l’immaturité des personnages, à la lisière de l’âge adulte. Ça me plaît. Parce que l'amour n'est pas une notion mature. On perd tout discernement par amour, on peut faire n'importe quoi par amour. Tessa et Hardin commencent mal parce qu’ils ne la jouent pas réglo l’un avec l’autre, mais on ne peut pas s’empêcher d’espérer et de croiser les doigts.
Maintenant, la fin. La fin qui, d’après Aliybooks, était tout juste soutenable. La fin qui m’a fait complètement partir en vrille. J’ai eu envie de fondre en larmes. Je vous assure, ça ne s’est joué à rien. J’étais bouleversée, sous le choc et tellement en colère ! Toutes nos émotions se retrouvent débridées, au point qu’on ne sait même plus comment réagir, tellement on est hébété. Je ne m’attendais pas à un tel revirement de situation.
Concernant la plume, je ne vais pas vous mentir, ce n’est pas de la très grande littérature. C’est très simple, efficace, et l’effet addictif est là, c’est indéniable. Par contre 600 pages, outch, pardon, mais c’est beaucoup trop ! Sachant que le rythme est redondant, je pense que l’auteur aurait gagné à supprimer certaines scènes inutiles, qui n’apportent rien de plus à l’intrigue initiale. Je comprends pourquoi cette histoire a fait le buzz sur Wattpad. Chaque chapitre est comme un nouvel épisode de feuilleton. Lire un chapitre par semaine, ça passe sans problème. Mais tout d’une traite, attention à l’indigestion…
En résumé, à ce stade, je suis incapable de dire si j’ai aimé ou non. Ce livre m’a complètement bouleversée, il m’a tenue en haleine pendant de longues heures toute une nuit et toute une matinée, mais j’y ai retrouvé trop de longueurs et de maladresses. J’ai aimé et détesté le couple Tessa-Hardin, j’ai vibré, j’ai tremblé, je me suis rongé les sangs. Ce premier volet ne m’a pas laissée de marbre, loin de là. Je lirai la suite pour la curiosité, car la fin est la pire que j’ai pu lire à ce jour. |
Aux amateurs de romances un poil érotiques. Attention tout de même, je mettrais ce livre dans les mains des plus avertis. Ce n’est pas une histoire à l’eau de rose.
Hardin n'a rien à perdre... sauf elle. Après leur rencontre la vie ne sera plus jamais la même. Après un début tumultueux, la relation de Tessa et Hardin semblait bien partie. Tessa sait qu'Hardin peut être cruel, mais quand les origines de leur relation et son mystérieux passé lui sont révélés, cela lui fait l'effet d'une bombe. Tessa est hors d'elle. Hardin sera toujours... Hardin. Mais est-il vraiment le mec dont Tessa est tombé éperdument amoureuse, en dépit de son caractère colérique, ou est-il un étranger, un menteur depuis le début ? Doit-elle s'en séparer ? Ce n'est pas si facile. Le souvenir de ses bras autour d'elle... de sa peau qui l'électrise... de leurs nuits passionnées, trouble
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son jugement. Pourtant, Tessa n'est pas sûr qu'elle pourra supporter une autre promesse non tenue. Elle a mis toute sa vie entre parenthèses pour Hardin – l'université, ses amis, sa relation avec sa mère, son petit ami, même son début de carrière. Mais elle a besoin de lui pour avancer. Hardin sait qu'il a fait une erreur, peut-être la plus grande de sa vie, mais il veut se battre pour elle ! Mais peut-il changer ? Va-t-il changer... par amour ?
J’ai aimé : que ce soit aussi addictif (je ne sais toujours pas comment Anna Todd s’y prend !)
Je n’ai pas aimé : que tout soit amplifié, exagéré, déformé, que le roman soit si long et tourne autant en rond
Je n’ai pas aimé : que tout soit amplifié, exagéré, déformé, que le roman soit si long et tourne autant en rond
J’ai laissé passer beaucoup de temps avant de franchir le pas. D’abord, parce que chaque tome d’After s’avère être une brique qui tient péniblement dans une main, mais aussi et surtout parce que la fin du premier opus m’avait laissée sans force, comme une lavette qui aurait perdu tout repère spatio-temporel. Non, cette fin, décidément, impossible de la laisser passer, impossible de l’ignorer. C’était trop dur, trop choquant, trop dégoûtant. Et pourtant, Anna Todd avait osé. J’étais donc partagé entre la répugnance pure et dure (oui, vraiment) et une certaine admiration, parce qu’il fallait avoir de l’audace pour mettre ces personnages autant dans la mouise.
Nous retrouvons donc Hardin et Tessa dans une impasse comme j’en ai rarement vu. Après les révélations du tome 1, la jeune fille n’en peut plus. Elle a souffert, encaissé les frasques et les maladresses d’Hardin un nombre incalculable de fois, mais l’humiliation est à son summum. Pourtant, Hardin a conscience de l’horreur de ses actes (que dis-je, sa bêtise !), et il compte faire son possible pour se racheter une conduite et gagner la confiance de sa belle. Mais les problèmes, les quiproquos et les mensonges n’en ont pas fini de compliquer leur relation déjà houleuse. Tessa et Hardin parviendront-ils à surmonter les obstacles pour vivre leur passion plus sereinement ?
Oui, non, peut-être, je ne sais pas, on verra, essayons, oh bah non finalement, si quand même, je doute, je t’aime, moi non plus, donne-moi une deuxième chance, d’accord, puis non, reste, reviens, va-t’en… Vous voyez le topo ? Ou dois-je être un peu plus explicite ? Je viens de vous résumer les 700 pages d’After we colliwed, enfin ! Certains d’entre vous auront peut-être envie de me jeter la pierre – ou le parpaing dans la tronche, qui sait –, mais j’ai énormément de mal avec ce genre de romances en temps normal. Continuer avec le tome 2 après la descente aux enfers du tome 1 était une épreuve en soi, dans le sens où j’étais complètement atterrée, écœurée et heurtée.
Et si je pensais qu’Anna Todd allait faire profil bas dans ce tome, je faisais totalement fausse route ! L’histoire de Tessa et Hardin a cette fâcheuse tendance à tirer sur la corde de la patience, celle de la décence, et également celle du supportable. Tout est trop, trop, TROP. Et ce constat m’a éclaté en plein visage à de multiples reprises durant ma lecture. Ils passent leur temps à se tester, se disputer, se déchirer, se séparer, recoller les morceaux pour recommencer la fois suivante. Des montagnes russes qui finissent par donner le tournis (et envie de vomir, soit dit en passant). Le schéma est répétitif et la seule inconnue dans l’équation, c’est la raison à venir qui va les contraindre à se pouiller la tête avant de se rabibocher.
Pour être honnête, ce n’est définitivement pas ce que je recherche dans mes lectures habituelles. Je ne suis pas sensible aux « bad boys » et je n’aime pas du tout cette image que l’histoire renvoie : que l’amour peut tout surmonter, même les erreurs les plus atroces et impardonnables. Parce que cette histoire d’amour finit par se transformer en histoire de haine. Une haine féroce qui se nourrit d’une relation fracassée et destructrice. Anna Todd s’est tellement enfoncée dans cette surenchère que je me demande si le « happy-end » que je pressens sera vraiment crédible.
Je suis donc particulièrement mitigée. Il y a énormément de choses qui m’ont rebutée dans ce roman et je me suis beaucoup ennuyée, car les longueurs sont légion. Et pourtant… j’ai quand même envie de lire la suite, et c’est ce qui me surprend. Alors je vais ouvrir mon tome 3 sous peu, c’est décidé. Et je ne sais toujours pas pourquoi… Peut-être parce qu’il me semble inconcevable d’avoir fait tout ce chemin si c’est pour abandonner et renoncer à connaître la fin. Ou peut-être parce que malgré tous ses défauts, After ne se départit pas d’une certaine addictivité qui m’a très vite contaminée. On m’a prévenue que le tome 3 n’est pas plus glorieux que le 2, mais que la saga tend à s’améliorer après ça. Espérons que ce soit vrai…
Nous retrouvons donc Hardin et Tessa dans une impasse comme j’en ai rarement vu. Après les révélations du tome 1, la jeune fille n’en peut plus. Elle a souffert, encaissé les frasques et les maladresses d’Hardin un nombre incalculable de fois, mais l’humiliation est à son summum. Pourtant, Hardin a conscience de l’horreur de ses actes (que dis-je, sa bêtise !), et il compte faire son possible pour se racheter une conduite et gagner la confiance de sa belle. Mais les problèmes, les quiproquos et les mensonges n’en ont pas fini de compliquer leur relation déjà houleuse. Tessa et Hardin parviendront-ils à surmonter les obstacles pour vivre leur passion plus sereinement ?
Oui, non, peut-être, je ne sais pas, on verra, essayons, oh bah non finalement, si quand même, je doute, je t’aime, moi non plus, donne-moi une deuxième chance, d’accord, puis non, reste, reviens, va-t’en… Vous voyez le topo ? Ou dois-je être un peu plus explicite ? Je viens de vous résumer les 700 pages d’After we colliwed, enfin ! Certains d’entre vous auront peut-être envie de me jeter la pierre – ou le parpaing dans la tronche, qui sait –, mais j’ai énormément de mal avec ce genre de romances en temps normal. Continuer avec le tome 2 après la descente aux enfers du tome 1 était une épreuve en soi, dans le sens où j’étais complètement atterrée, écœurée et heurtée.
Et si je pensais qu’Anna Todd allait faire profil bas dans ce tome, je faisais totalement fausse route ! L’histoire de Tessa et Hardin a cette fâcheuse tendance à tirer sur la corde de la patience, celle de la décence, et également celle du supportable. Tout est trop, trop, TROP. Et ce constat m’a éclaté en plein visage à de multiples reprises durant ma lecture. Ils passent leur temps à se tester, se disputer, se déchirer, se séparer, recoller les morceaux pour recommencer la fois suivante. Des montagnes russes qui finissent par donner le tournis (et envie de vomir, soit dit en passant). Le schéma est répétitif et la seule inconnue dans l’équation, c’est la raison à venir qui va les contraindre à se pouiller la tête avant de se rabibocher.
Pour être honnête, ce n’est définitivement pas ce que je recherche dans mes lectures habituelles. Je ne suis pas sensible aux « bad boys » et je n’aime pas du tout cette image que l’histoire renvoie : que l’amour peut tout surmonter, même les erreurs les plus atroces et impardonnables. Parce que cette histoire d’amour finit par se transformer en histoire de haine. Une haine féroce qui se nourrit d’une relation fracassée et destructrice. Anna Todd s’est tellement enfoncée dans cette surenchère que je me demande si le « happy-end » que je pressens sera vraiment crédible.
Je suis donc particulièrement mitigée. Il y a énormément de choses qui m’ont rebutée dans ce roman et je me suis beaucoup ennuyée, car les longueurs sont légion. Et pourtant… j’ai quand même envie de lire la suite, et c’est ce qui me surprend. Alors je vais ouvrir mon tome 3 sous peu, c’est décidé. Et je ne sais toujours pas pourquoi… Peut-être parce qu’il me semble inconcevable d’avoir fait tout ce chemin si c’est pour abandonner et renoncer à connaître la fin. Ou peut-être parce que malgré tous ses défauts, After ne se départit pas d’une certaine addictivité qui m’a très vite contaminée. On m’a prévenue que le tome 3 n’est pas plus glorieux que le 2, mais que la saga tend à s’améliorer après ça. Espérons que ce soit vrai…
En résumé, After we colliwed m’a laissée avec une impression plus que mitigée. Cette romance à la mords-moi-le-nœud m’a pris une énergie folle. J’en suis ressortie vidée, comme si je venais de courir un marathon. Il faut dire que Tessa et Hardin n’ont pas fini de se déchirer, et ils nous entraînent dans une spirale infernale de laquelle on a du mal à s’extirper. Car contre toute attente, ce tome est aussi addictif que son prédécesseur et m’a donné envie de connaître la suite. Étrange, n’est-ce pas ?
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Ne lisez pas ce livre si vous êtes allergique à la romance en général. Ne le lisez pas non plus si les histoires d’amour à la sauce « je t’aime moi non plus » vous rebutent.